A l’origine du mouvement de rejet du projet d’exploration du gaz de schiste à In Salah, l’association locale Shems d’In Salah composée d’un collectif actif depuis 2012.Il y a lieu d’indiquer que cette association a récemment bénéficié d’un financement par une Ambassade étrangère. Le collectif de cette association dont les membres dirigent le mouvement anti Shiste à In Salah, regroupe des cadres dont certains travaillent dans le secteur de l’Energie. Il s’agit notamment de :
Abdelkader Bouhafs : parmi les meneurs du collectif anti Schiste In-Salah, travaille comme ingénieur à SONATRACH (Tiguentourine), exerce une influence sur la population eu égard à son profile, il s’est distingué lors de la rencontre du Ministère de l’énergie avec la population d’In Salah par les arguments qui ont laissé une bonne impression auprès de l’assistance, devant lesquelles le Ministre de l’énergie était peu convainquant). Il a effectué un stage à Bordeaux (à l’Université science PO de Bordeaux en France !!!) du 30 novembre au 13 décembre (juste avant le déclenchement des protestations), stage financé dans le cadre d’un projet initié par l’association environnementale Chems (ce stage a regroupé 20 jeunes issus du mouvement associatif algérien comme illustré dans la photo jointe.
Mohamed Jouane : Président de l’association Chems, enseignant à In Salah et membre du comité de coordination de la protestation.
Abdelkrim Sagueni : ingénieur géophysicien, chef de service technique à SONATRACH
Mohamed Slimani : exerce en tant qu’agent à Naftal
Mohamed Allioui : agent HSE à la GCB.